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Théâtre Talipot : Mâ Ravan’ au Parc de La Villette à Paris

Publié le 17 juillet 2009

La Réunion au Parc de la Villette : après l’immense succès en Avignon, Afrique australe et Afrique du Sud, Mâ Ravan’ débarque à Paris en septembre 2009 dans le cadre du festival Théâtres Créoles à la Grande Halle de La Villette. Dernière manifestation de la saison consacrée aux identités créoles, le Théâtre Talipot présentera sa dernière création. Inspiré des mythes de la Réunion et de l’Océan Indien, Mâ Ravan’ évoque le besoin urgent, au-delà des blessures de l’Histoire, de retrouver les liens, les filiations, d’une île à l’autre, d’une rive à l’autre, d’un monde à l’autre.

Ma Ravan

Quatre danseurs, acteurs, musiciens, chanteurs, passeurs, éveilleurs du jour, de l’île de La Réunion, l’île Maurice, Madagascar, réveillent avec puissance la mémoire de leurs corps au son de la ravanne, tambour commun à toutes les îles de l’Océan Indien. Entre rituel et représentation, à travers l’évocation et l’invocation des grands Marrons, rebelles et résistants, héros intemporels qui ont ouvert les chemins de la liberté, Mâ Ravan’ met en scène, met en chair, les forces de vie inscrites dans le corps de chacun aujourd’hui.

Théâtre Talipot : Mâ Ravan

Écriture, mise en scène et chorégraphie : Philippe Pelen Baldini - Interprètes : Thierry Moucazambo, José Njiva Andrianantenaina,
Michaël Marmitte, Pascal Marie

Mâ Ravan’ sera sur la scène de la salle Boris Vian les mardi 22, mercredi 23, vendredi 25 et samedi 26 septembre à 20h30, et le jeudi 24 septembre à 19h30. Rencontre avec les artistes à l’issue de la représentation de 24 septembre.

Grande Halle de la Villette, salle Boris Vian
Plein tarif 15 € - Tarif réduit 12 € - Moins de 16 ans 7,5 €
Info/résa : 01 40 03 75 75
www.villette.com

Théâtre Talipot

Lire aussi : Théâtre Talipot au Batclan : les photos du spectacle Mâ Ravan’

Ma Ravan dans la presse

« Un événement éblouissant qui se déroule dans l’espace, des moments privilégiés qui évoquent la progression dans le temps, et un processus de transformation qui agit autant sur les acteurs que sur le public. (…) Un spectacle jamais vu sur la scène en Avignon ».
Alvina Ruprecht (gensdelacaraibe.org)

« Les corps des quatre danseurs de Mâ Ravan’ sont devenus des révélateurs de conscience… Au delà de (et grâce à) l’esthétique envoûtante, et par la force magique de la transe, voilà un message de portée universelle, donc essentiel à l’homme ».
François Blondet, Ambassadeur de France en Angola

« Un travail fantastique plein d’expression et d’émotions. J’ai vraiment senti mon identité africaine ».
Manuela Soeirio. directrice du Teatro Avenida, Mozambique

« Tourbillon d’émotions insufflées par des interprètes éblouissants… Les deux représentations du spectacle ont littéralement soulevé le public venu nombreux : standing ovation, spectateurs bouleversés parfois en larmes… ».
Laurent Clavel, directeur de l’Institut français d’Afrique du Sud

« Spectacle fabuleux où il est évident que le travail de Taliipot dépasse toute les barrières ».
David Abila, Directeur du ballet national du Mozambique

« Sacré et époustouflant (…), l’une des plus belles oeuvres chorégraphiques, extraordinairement raffinée et profonde, qui soit venu honorer nos plateaux de danse depuis fort longtemps.(…) Trois danseurs incroyablement magnifiques menés par un Thierry Moucazambo à la forte présence, qui rit et danse avec une sorte de promptitude qui vous emporte à chaque fois qu’il parle... Sans conteste cette production restera l’un des points culminants du programme de cette année ».
Robyn Sassen - CUE

« Brillant : Mâ Ravan du Théâtre Tallipot de l’île de la Réunion a impressionné la scène du festival de Grahamstown ».
Steyn Du Toit - CAPE TIMES

"Le spectacle du Théâtre Taliipot, signé par Phillipe Pelen Baldini, est le joyau de la couronne du Jomba 2009 et une expérience qui sera vécu encore et encore dans la mémoire de ceux qui ont été assez chanceux pour en avoir été témoins".
Gisèle Turner - TONIGHT

« Philippe Pelen Baldini a conduit Ma Ravan avec une passion d’une rare profondeur. Il a puisé dans une source si riche et si puissante, si primitive, qu’elle en devient absolument universelle. En nommant les noms, qui ont été minutieusement étudiés par divers historiens à la fois à la Réunion et à Maurice, ceux dont l’humanité avaient été violés et ignorés ont retrouvé leur dignité ».
Gisèle Turner - TONIGHT

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