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Nathalie Hermine : son nouveau roman, Kerguelen ou presque

Publié le 6 janvier 2016

Il est petit, il est auto-édité. Autrement dit, il ne manque pas de particularités, le roman que je vous propose de découvrir. Il a pour titre Kerguelen ou presque. J’y parle (un peu) de La Réunion mais, surtout, j’y raconte l’histoire d’un drôle de rêve.


Le jour où est né le désir d’écrire l’histoire d’un couple entre rêve et réalité, je me suis tout naturellement transportée aux Kerguelen, territoire auquel je m’intéresse depuis quelques années. C’est ainsi que j’ai écrit Kerguelen ou presque.

C’est donc un petit roman, une histoire assez courte grâce à laquelle je renoue avec l’écriture. Sur la couverture, la photo du pont de la Rivière de l’Est m’a été offerte par Mathieu Sontag, qui a vécu quelque temps à La Réunion. Celle des manchots me vient de Christian Fressignac, qui a passé un an aux îles Kerguelen.

Pour en savoir plus, lire un extrait, savoir qui je suis, acheter le livre, rendez-vous sur mon blog : www.les-lettres-du-paille-en-queue.com

Nathalie Hermine, je suis...


Réunionnaise, née en 1968 à Saint-Denis. J’ai fréquenté l’école Joinville, le collège Les Alizés (Chaudron) et le lycée Leconte de Lisle.

Après un bac A2, j’ai étudié les Lettres modernes à l’Université de La Réunion.

J’ai été journaliste au JIR et à Église à La Réunion, mais aussi éducatrice à la Protection judiciaire de la jeunesse (en Seine-Saint-Denis). Avec un petit détour à la Cinor.

J’ai ensuite enseigné le français, de 2005 à 2014, essentiellement au collège de Bourbon. Avant de passer, en 2014, le concours de personnel de direction. Je suis donc, depuis septembre 2014, Proviseure-Adjointe d’un petit lycée de la Loire (42).

Côté écriture, j’ai publié en 2002 mon premier roman, Voleur chemin (éditions Grand Océan).

J’aime la lecture ; je lis surtout des romans, notamment des romans historiques. J’aime travailler sur les mots et découvrir leur étymologie ; je possède ainsi plusieurs dictionnaires. J’aime la langue française et ma langue maternelle, le créole. Lorsque j’écris, j’aime créer des passerelles entre ces deux langues.

J’aime la recherche documentaire ; un goût naturel que le métier de journaliste a entretenu.

J’aime les beaux stylos (ainsi que le chocolat au lait, le séga, le maloya, la chanson française) et… mon clavier d’ordinateur.

Enfin et surtout, j’ai des manuscrits en attente, mais ceci est une autre histoire…

N. H.

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