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NATIVEL Jean-Max.

Publié le 1er janvier 2014

Infirmier, né le 13 novembre 1953 à Saint-Leu (la Réunion). Fils d’Etienne Rock et d’Anne-Luce née Gabriel. Marié à Nicette Françoise née Sévagamy. 3 enfants (Anne, Florence, Marion). Scolarité à la Réunion jusqu’au BEPC. Diplôme d’Etat passé à l’école d’infirmier d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) Infirmier à l’Assistance Publique à Paris avant de revenir à la Réunion en 1975 comme Volontaire de l’Aide Technique (VAT) à la DRASS pendant 18 mois. Il est embauché le 3 mars 1977 au Centre départemental hospitalier (CHD) à Saint-Denis, avant de prendre sa retraite en 2009 Militant du Front de la Jeunesse Autonomiste de la Réunion (FJAR) au sein de la section de la Possession dans les années 67-68. Il prolonge son action militante au sein du mouvement communiste en faisant campagne en faveur de la candidature de Roland Robert lors des élections municipales de 1971 à la Possession. Rappelant qu’il avait milité au sein du Parti Socialiste lorsqu’il était étudiant à Paris, il est nommé en 1975 secrétaire fédéral de la fédération du PS à la Réunion, puis suppléant de Daniel Cadet aux élections législatives dans la 2e circonscription en juin 1981, candidat aux élections cantonales de Saint-Leu en mars 1982 où, totalisant 22% des voix sur son nom, il est battu au premier tour par Marie- Thérèse de Chateauvieux. Président fondateur de Forum Socialiste en 1983, il est ensuite tête d’une liste dissidente du Parti Socialiste baptisée Forum Socialiste, aux premières élections régionales de 1983. La même année, il est tête de la liste “Rassemblement pour la défense des intérêts communaux” aux élections municipales à la Possession, élu conseiller avec 6% des voix, avant d’être démissionné par le tribunal administratif. En 1986, il est présent sur la liste de Wilfrid Bertile aux élections législatives, lors de l’ancien mode de scrutin. En 1988, nouvelle candidature aux élections cantonales à Moufia, à Sainte-Clotilde : il est battu par Hervé Maureau, mais six ans plus tard, en mars 1994, il obtient ce mandat de conseiller général et se fait élire vice-président du Conseil Général. Aux élections municipales de Saint-Denis en mars 1989, élu sur la liste de Gilbert Annette, il est nommé adjoint spécial de Moufia. Il est encore la tête de la liste “Agir pour Saint-Denis” aux élections municipales de juin 1995 avec cetet fois Jean-Claude Nurbel, Rémy Massain et Patrick Verguin et rassemblant « des exclus de la liste Michel Tamaya ». Leader en 1996 du Mouvement Militant Réunionnais (MMR), il est candidat aux élections sénatoriales d’avril 1996 avec pour suppléant Michel Papy, puis candidat en septembre de la même année à l’élection législative partielle dans la 2e circonscription avec pour suppléant Christian 522 Félicité. Dernière action politique : on le retrouve militat aux côtés d’Axel Kichenin, leader de l’Union des Progressistes Réunionnais (UPR) ♥ Président de l’Association Réunionnaise pour la Formation et l’Utilisation des Travailleurs Sociaux (ARFUTS), de 1994 à 2001, année de la fusion de l’organisme avec l’Association Saint-Jean-de-Dieu (ASJD). Secrétaire du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) de la Réunion, de 1998 à 2001. Président du Club sportif de Saint-Denis (CSSD), de 1989 à 1990, puis en janvier 1995 jusqu’en juillet 1995. Administrateur de l’association d’insertion Jacques Coeur à Saint- Denis, de 1989 à 1994. Président de l’Agence Départementale pour l’Information sur le Logement (ADIL), de 1998 à 2001. Président du conseil d’administration de l’Etablissement public de santé mentale de la Réunion (EPSMR), de 1998 à 2001. Président de la FC Possession (1983-1989).

Autres

Responsable syndicat du secteur Nord de la CFDT, de 1986 à 1998. Responsable de la CFDT au Centre hospitalier départemental (CHD) de Bellepierre, membre du conseil d’administration comme représentant du personnel, jusqu’en 1993. Secrétaire général départemental du syndicat Sud Santé Sociaux, depuis 2001.

Source : Jérôme l’archiviste - Extrait de l’ouvrage Célébrités de la Réunion paru en 2009, basé sur plus de 50 000 documents et archives retraçant quarante années de la vie réunionnaise.

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