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La divine mascarade, de Patryck Froissart

Publié le 8 février 2015

L’amour, la haine, la paix, la guerre...


La poésie est aussi propre à exprimer toute la beauté de la nature que toutes les laideurs dont l’homme la gangrène jusqu’à la menacer de destruction totale. De même, le poème peut être tout autant l’hymne à la grandeur de l’humanité que le pamphlet mettant à nu ses tares et ses hideurs.

L’amour, la haine, la paix, la guerre...

Dans la noblesse et dans la bassesse, dans ses conduites généreuses et magnifiques et dans ses actes d’égoïsme et de cruauté, dans les atrocités qu’il commet depuis toujours au nom des dieux qu’il vénère, l’homme est-il ou non agi par quelque volonté divine invisible qui posséderait et actionnerait toutes les ficelles ?
Cette question inquiète, l’homme se la pose depuis qu’il a une âme, depuis qu’il est, justement, animé on ne sait par qui, ni par quoi, ni pourquoi.

Patryck Froissart, poète, romancier, nouvelliste, brosse dans ce sombre recueil, sans concession ni réserve, un tableau désespéré de l’état de nos sociétés, et en fait porter la responsabilité à Celui ou à Cela qui habite l’homme. Lecture déconseillée aux dépressifs...

L’auteur

Patryck Froissart, originaire du Borinage, à la frontière franco-belge, a enseigné dans le Nord de la France, dans le Cantal, dans l’Aude, au Maroc, à La Réunion, à Mayotte, avant de devenir Inspecteur de l’Education Nationale puis proviseur (à La Réunion et à Maurice). Il a publié en 2003 "L’Eloge de l’Apocalypse", un recueil de poèmes de 90 pages, et en 2006 "L’Eloge de l’Opaque Ellipse", un "proème" de 180 pages. Longtemps membre du Cénacle Jehan Froissart de Valenciennes, il a collaboré à plusieurs revues de recherches poétiques. Il a reçu en 1971 le prix des Poètes au service de la Paix.

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