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Nosy-Bé : un voyage passionnel vers l’enfance, teinté de nostalgie

Publié le 18 octobre 2009

J’ai beaucoup parcouru Madagascar d’Est en Ouest et du Nord au Sud, ses routes bonnes ou mauvaises… et je connais bien particulièrement l’île de Nosy-Bé et la région nord, avec la ville de Diégo-Suarez (Antsiranana), sans oublier les petits villages d’Ambilobé, d’Anivorano et d’Ambanja.

style='float:left; width:150px;'> type="image/jpeg" title="Nosy Bé">Nosy Bé {JPEG}

Ce que je vous offre ici, ce sont trente-deux années de passion enflammée pour un pays dont l’histoire mérite d’être connue. L’aventure malgache, je la porte dans un coin de mon cœur. J’y repense de temps en temps lorsque les sentiments et la nostalgie remontent à la surface. L’Histoire et la civilisation de cette île, les mentalités qui régissent les 18 ou 19 tribus ou ethnies sont mal connues et mal perçues. La société malgache ou plutôt les sociétés malgaches sont mal analysées et restent secrètes car elles sont encore incomprises. Il faut y vivre pour commencer à croire à la cerner.

C’est vrai que lorsque l’on lit les manuels scolaires, les encyclopédies anciennes ou récentes, l’annexion de l’île de Nosy-Bé en 1841 sous la Monarchie de Juillet, n’apparaît nulle part ou presque (le sujet n’est parfois qu’effleuré, même par les grands spécialistes de l’histoire coloniale). Plus riche, l’histoire coloniale de Madagascar aussi, n’y apparaît que sous la forme d’un exemple rapidement cité. Pourtant, cette histoire originale, qui retrace toute l’idéologie coloniale, mais aussi les rivalités entre les puissances européennes dans l’océan Indien, s’inscrit dans le cadre du Premier Empire colonial français (XVIème siècle jusqu’à la première moitié du XIXème siècle), mais aussi du Second Empire colonial (deuxième partie du XIXème-XXème siècles) et mérite sa place dans la grande Histoire, non seulement, celle des universitaires ou des intellectuels, mais aussi au sein de la pédagogie - que ce soit au collège ou au lycée, ou pourquoi pas à l’école primaire.

Ce livre s’adresse aussi à tous ceux qui veulent s’instruire, connaître l’Autre, celui qui est différent de lui, car c’est dans l’approche de la diversité, que se construisent les mots tolérance et respect. C’est en ouvrant davantage son esprit aux autres, et c’est en ayant une certaine curiosité intellectuelle que l’on apprend le plus souvent à se connaître, à mieux évoluer et à faire la part des choses dans sa vie. Ce livre est un ouvrage pour tous les curieux du savoir, et des choses nouvelles, et pour ceux qui cherchent à sortir des sentiers battus.

J’ai décidé d’écrire ce petit livre qui est une synthèse de mes nombreuses lectures, mais aussi et surtout, le résultat de mes recherches personnelles, effectuées lors de mes différents voyages d’études sur le Nord de Madagascar ; une combinaison concrétisée par des enquêtes orales avec des êtres exceptionnels et chaleureux, et des recherches de terrain de toutes sortes, et touchant à tous les domaines des sciences humaines, pour mettre à la lumière, la petite histoire d’une île magnifique, une histoire atypique et une histoire passionnante pour tous ceux qui aiment l’histoire coloniale, qui ont l’esprit curieux et ceux qui adorent la culture tout simplement et portent un amour aux savoirs et aux connaissances. Cette île, c’est Nosy-Bé.

Je vous offre donc cette plongée, ce voyage qui fait tant rêver, et qui vous emmènera sur les flots de l’océan Indien et du canal du Mozambique, où baignent éternellement - entre le blanc des vagues et la senteur des champs jaunes d’ylang-ylang, l’orangé des cabosses de cacao et le noir de la vanille, sans oublier le vert des champs de canne à sucre et du poivre - le bleu des espoirs et des joies des uns, et le rouge des peurs et les souffrances des autres.

Nosy-Bé : J’aime cette île que j’appelle la « nostalgique petite française », pourtant cinq fois plus petite que l’île de La Réunion, mais qui sera toujours grande dans mon cœur ! Son histoire, ses drames et ses joies, je les porte quelque part dans mon cœur pour toujours. Et comme je l’avais dit au maire de Hell-Ville en juillet 2006, un maire que j’ai eu l’occasion de rencontrer au hasard, dans la rue, mon cœur, ma passion sont à Nosy-Bé ce que ma raison et mon esprit sont à La Réunion. Il s’agit donc de l’histoire d’une passion, d’une symbiose que je vais maintenant vous raconter.

L’île de Nosy-Bé, c’est le berceau de mes rêves, de mes ambitions, de ma passion pour l’histoire de France et du monde, ainsi que l’amour que je porte à la littérature française et étrangère. C’est là-bas que tout cela a vu les levers du jour…sans oublier mon respect et mon idéal pour la grande Ecole républicaine française… ça vient de là……ça vient ……d’un petit village ….de l’île de Nosy-Bé ! et d’une toute petite école française perchée sur une colline et qui porte le nom d’un des fondateurs de la IIème République et de ses idéaux démocratiques.

L’école Lamartine : De 1979 à 1987, j’étais élève de Lamartine, sur cette petite colline inhabitée (à l’époque), où on entendait, dans le silence presque monacale des salles de classes - qui faisait naître tous les rêves et toutes les ambitions - au loin le chant berçant des oiseaux, le pèlerinage silencieux des mille-pattes, la romance des sauterelles, la danse des papillons dans la cour de récréation, et les échos des bruits des turbines de la centrale d’électricité. Cette école m’a porté bonheur, et c’est avec émotion et nostalgie que j’écris ces quelques mots ! Lamartine à Nosy-Bé, c’est toute mon enfance. Lamartine ! un nom qui évoque le fondateur de la IIème République, le lyrisme et la force d’un poète majeur du XIXème siècle, dont le poème le plus connu reste « le Lac », et...

…Puis le lycée français Sadi-Carnot à Diégo-Suarez, où j’ai passé mes années d’adolescence (1987-1994) en pension, est un souvenir qui remémore le nom d’un grand président du début de la IIIème République. Ces noms véhiculent les idéaux, les valeurs, les luttes, les combats en faveur de l’Ecole républicaine française, une Ecole que j’aimerai toujours, et que je porterai toujours dans mon cœur car elle a permis à tant d’enfants - issus de milieux modestes qui n’avaient que la plume et le cartable pour seul espoir, que les connaissances comme seuls moyens d’avancer, et de se mettre à pied d’égalité avec la richesse arrogante matérialiste des enfants de riches - de s’en sortir dans la vie. Ces deux écoles (Lamartine de Nosy-Bé et lycée français Sadi Carnot de Diégo-Suarez) sont pour moi le berceau de mes larmes de joie mais aussi de mes moments de grande douleur et souffrance en pension. Elles ont façonné l’homme que je suis devenu, et ont permis avant tout, à un petit garçon du village lointain de Djamandjar, qui adorait depuis l’enfance, les livres d’histoire et des textes littéraires (la culture en général) de s’en sortir relativement, dans la vie avec comme seul espoir : la reconnaissance au mérite.

Ces deux écoles resteront gravées à jamais dans mon cœur. Elles renferment dans leurs murs, mes joies, mes peines, mes douleurs et mes espoirs. Elles m’ont permis de grandir, de mûrir et de partager les grandes valeurs de la République Française, et de les véhiculer à mon tour dans la dignité et le respect, dans la tolérance et la raison, et d’être reconnu au mérite et de se forger un idéal comme guide.

Je rends hommage parallèlement à mes parents et à mon grand-père paternel qui m’ont toujours dit que « la culture permet de former un être libre penseur, doué de raison, et que l’instruction est la principale arme qui donne de la dignité à la pauvreté, de la force et de la grandeur à la tolérance, et des ailes à la liberté ».

Nosy-Bé, une île perdue entre Mayotte et Madagascar, dont la chaleur et l’accueil restent profondément africains depuis toujours, alors que le cœur, les rêves, les ambitions et la fierté restent extraordinairement français depuis 1841, pendant que l’âme a rejoint la destinée et, est devenue malgache depuis le 26 juin 1960.

C’est cette histoire d’une île, où le sourire oriental côtoie la misère et les paysages africains, où l’espérance occidentale et les idéaux de liberté français donnent de la force à la misère et à la sueur malgache, en donnant à la population des larmes de joie, mais aussi l’impression d’allumer - dans ses peurs et ses incertitudes du lendemain - les étincelles de l’espérance. C’est cette histoire, que je vais vous exposer ici. Ce livre « NOSY-BE, UNE ILE MALGACHE AU CŒUR FRANÇAIS » est un hommage à cette île magnifique (Nosy-Bé à Madagascar), que j’aime tant et que je respecte beaucoup, et qui est le berceau de mes rêves et de ma vocation. Nosy-Bé, c’est d’abord, la fresque blanche de l’insouciante enfance, et puis, la peinture du combat rouge et des incertitudes noires de mon adolescence. Ensuite, Nosy-Bé, c’est l’aquarelle bleue de l’espérance en une vie meilleure, et enfin, c’est le tableau vert de la générosité d’un peuple, d’un sourire courageux, d’une sérénité exceptionnelle et d’une humanité magnifique.

L’Histoire de l’île de Nosy-Bé est très peu connue. Elle mérite sa place dans la mouvance des histoires parallèles des pays de l’océan Indien et contribue à la construction identitaire de tous ceux qui souhaitent faire un voyage vers le passé, et tous ceux qui ont eu des ancêtres sur cette petite île - perdue quelque part dans le nord du Canal de Mozambique - qu’ils soient français, indiens, malgaches, chinois, africains ou même créoles réunionnais.

Venez découvrir les aventures et une histoire insolite d’une île en train devenir une grande destination touristique, au XXIème siècle, dans l’océan Indien, et avant de prendre l’avion, évadez-vous à travers la lecture de ce livre qui vous fait vivre et revivre, les « splendeurs et les misères » d’une île, un ouvrage, écrit par un amoureux de la vie, pour tous ceux qui veulent sortir du quotidien et voguer, rêver sur l’océan Indien sans oublier de surfer sur le canal du Mozambique. L’île de Nosy-Bé mérite le respect et ses plages sablonneuses, l’accueil généreux chaleureux de la population enchanteront plus d’un !

« En effet, ce travail est le résultat de mes différents voyages, où, justement, j’ai concilié les besoins d’évasions et les excursions touristiques, avec ma soif de connaissances et ma curiosité intellectuelle, mon énergie et démarche de chercheur passionné d’histoire, de sociologie, d’ethnologie et d’anthropologie. Tous ces aspects donnent à tous mes périples, un sens de voyages d’études, des dynamismes d’explorations, des forces motrices d’aventures routières et d’excursions maritimes, mais aussi et surtout une dimension profondément humaine et chaleureuse. La passion de l’Histoire m’a construit et m’accompagne tout au long de ma vie. C’est une passion dont j’espère, ne jamais m’en lasser. Elle m’accompagnera toujours comme la lave guide une éruption volcanique et comme les vagues escortent un tsunami. La passion pour l’Histoire et la Littérature est gravée à tout jamais dans mon sang. Elle me donne cette énergie, cette rage de vivre et cette envie de combattre et d’aller toujours de l’avant. »

TAMIM K

BIBLIOGRAPHIE CONSEILLEE POUR ALLER PLUS LOIN

A) Ouvrages généraux et spécialisés :

Albert Desbiens (Auteur), Denis Vaugeois (préface), Histoire des Etats-Unis : Des origines à nos jours, Nouveau Monde Editions, Collection Poche, 2005, 366 pages.

Amicale des Journalistes et Ecrivains français de Madagascar, Centenaire du rattachement à la France des îles : Nossi-Bé, et Mayotte, Tananarive, Imprimerie officielle, 1942, 256 pages.

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Association historique internationale de l’océan Indien, Les relations historiques et culturelles entre la France et l’Inde, Tome 2 :les XIXème et XXème siècles, actes de la conférence internationale France-Inde de VAHIOI, Saint-Denis de La Réunion, du 21 au 28 juillet 1986, 434 pages.
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Bernard Carmen et Gruzinski Serge, (indispensable et excellente synthèse avec des cartes magnifiques et conçu je pense pour une utilisation pédagogique)
Histoire du Nouveau Monde, Tome 1, de la découverte à la conquête, une expérience européenne (1492-1550), ouvrage publié avec le concours du Centre National des Lettres, Fayard, 1991, 768 pages.

Bernard Carmen et Gruzinski Serge, (indispensable et excellente synthèse avec des cartes magnifiques et pédagogiques)
Histoire du Nouveau Monde, Tome 2, Les Métissages (1550-1640), ouvrage publié avec le concours du Centre National des Lettres, Fayard, 1993, 789 pages.

Blanchy Sophie, Karana et Banians : Les communautés commerçantes d’origine indienne, à Madagascar, Préface de Pierre Vérin, Paris, l’Harmattan, 1995, 346 pages.

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Caratini Roger, La force des faibles : Encyclopédie mondiale de minorités, Paris, Larousse, 1986, 399 pages.

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Romeuf-Salomone Sophie, Le pouvoir colonial et les communautés étrangères à Madagascar de 1896 à 1939, Thèse d’Histoire, volume 2 : L’immigration étrangère spontanée à Madagascar, Aix-en-Provence, 1990, 696 (suite) pages.

Romeuf-Salomone Sophie, Le pouvoir colonial et les communautés étrangères à Madagascar de 1896 à 1939, Thèse d’Histoire, volume 3 : Le régime des étrangers à Madagascar, Aix-en-Provence, 1990, 1050 (suite) pages.

Romeuf-Salomone Sophie, Le pouvoir colonial et les communautés étrangères à Madagascar de 1896 à 1939, Thèse d’Histoire, volume 4 : Sources et bibliographie, Aix-en-Provence, 1990, 1349 (fin) pages.

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Kenchio Suyematsu, Comment la Russie amena la guerre russo-japonaise. Histoire complète 1re-2e partie 1898-1900 1901-1903, Probsthain, 1905, 62 pages.

Kenchio Suyematsu (Auteur), Paul Adolphe Van Cleemputte (Auteur), Un songe d’été à Paris le Japon d’hier et d’aujourd’hui, Editions F. Juven, 1906, 352 pages.

Kenchio Suyematsu (Auteur), A. de Faucigny-Lucinge (Auteur), Bon Suyematzu. L’Empire du Soleil levant, Hachette (1906), 422 pages.

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Zischka Antoine, Le Japon dans le monde, l’expansion nippone 1854-1934, Payot (1934), 312 pages.

B) Ouvrages épistémologiques :

Chauveau Agnès et Têtard Philippe (sous la responsabilité de), collection dirigée par Bernstein Serge et Milza Pierre. Ouvrage collectif : Jean-Jacques Becker, Serge Bernstein, Robert Frank, Jacques Le Goff, Pierre Milza, René Raymond, Jean-Pierre Rioux, et Jean-François Sirinelli. Questions à l’Histoire des Temps Présents, Bruxelles, Editions Complexe, 1992, 136 pages.

Delumeau Jean (sous la direction de) L’historien et la foi, Paris, Fayard, 1996, 354 pages.

Gagnon Nicole et Hamelin Jean, L’Histoire orale,
Québec, Edisem, 1978, 95 pages.

Jean-François Soulet, L’histoire immédiate : historiographie, méthodologie, épistémologie, Collection : AC.UNIVERSITAIR, Armand Colin (25 février 2009).

Paul Veyne (Auteur), Comment on écrit l’histoire, essai d’épistémologie, Collection : Univ.Histor, Seuil (1 février 1971)

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