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Thierry Jardinot au Théâtre du Gymnase Paris

Publié le 12 janvier 2018

L’humoriste péi jouera son spectacle « Yaïe Yaïe Yaïe y parl’pu d’ça ! » les 18 et 19 mars 2018 dans la grande salle parisienne... Avec orchestre et musiciens !

Toutes les places ont été gagnées !


Le personnage Douvin la été pendant lontemps un personnages fétiche pour Thierry Jardinot. Personnage de scène, de radio, de télé, li lé le préféré des Réunionnais. Du coup, son auteur la décide que confier à li un spectacle à li tout seul, où li va pouvoir donne digaz, comme li na l’habitude de faire dan’ son band’ sketchs, en mettant le doigts su les problèmes de société , politiques , économiques et culturels de nout pei dan’ son langage brut de décoffrage ! Quand l’auteur (Thierry Jardinot) la demande à Douvin si li sent à li à la hauteur du challenge, la répond’ « yaie yaie yaie y parle pu de çà » y veut dire que Douvin lé plus que paré !

Réserver des places sur le site du Théâtre du Gymnase ou www.billetreduc.com/202888/evt.htm

Infos pratiques

Salle : Théâtre du Gymnase 38 Boulevard de Bonne Nouvelle
75010 PARIS
Dates : 18 et 19 mars 2018
Horaires : 20h30
Lumière : Dominique BENVENUTI
Son : Cédric CORRIERI
Production : HEMISPHERE SUD


Commentaire

Depuis trente ans, Thierry Jardinot brosse à contre-poil le portrait de La Réunion, et ce qui frappe chez cet homme aiguisé, c’est sa faculté à sentir bouger l’île. C’est dans la vérité de son regard que naît sa drôlerie unique, mélange de dérision, de tendresse, et d’un saisissant pouvoir d’imitation. Tics de langage, mimiques : en quelques traits, Thierry Jardinot est capable d’incarner toute une population. En un spectacle, il veut aujourd’hui raconter une famille : la sienne. Dans le mélange des générations qui l’entourent, dans leurs problèmes et leurs manies, il dit trouver les pigments d’un tableau plus vaste où l’on devine un panorama : celui de La Réunion 2.0, comme il l’appelle. De la mode des animaux de compagnie exotiques à la folie des réseaux sociaux, le plus grand humoriste péi nous tend à nouveau son miroir désopilant : attention, ça rase de près !

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